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Quand la psychologie perturbe vos rendements

« Acheter bas et vendre haut » — un concept simple et l’un des principes fondamentaux de l’investissement. Et pourtant, la plupart des investisseuses et des investisseurs achètent quand les marchés sont hauts et vendent quand la bourse s’effondre. Nos émotions affectent nos décisions et nos décisions influencent grandement les rendements de nos portefeuilles.

De nombreuses études démontrent les effets négatifs du comportement irrationnel des investisseuses et des investisseurs sur la performance de leurs investissements. Quand il s’agit de notre patrimoine financier, bien souvent la rationalité disparaît et les émotions prennent le dessus.

« La psychologie de l’investisseur emprunte souvent des voies qui empêchent de prendre les bonnes décisions. » Eric Leroux, journaliste

La finance comportementale étudie l’influence de la psychologie sur le comportement des investisseuses et des investisseurs ou des analystes financiers. Elle met l’accent sur le fait que, comme tout être humain, ils ne sont pas toujours rationnels, que leur maîtrise de soi connaît des limites et qu’ils sont influencés par leurs propres préjugés et émotions. Chacun réagit différemment face aux perspectives de matérialisation de pertes ou de gains financiers.

On parle de biais cognitif lorsqu’on tire des conclusions erronées, sur la base de préjugés et d’émotions, pour prendre une mauvaise décision. De nombreuses études ont identifié un large éventail de biais cognitifs qui s’appliquent plus particulièrement aux décisions financières.

Souvent, les investisseuses et investisseurs voient de l’ordre là où, en fait, il n’y en a pas et attribuent leur succès « accidentel » à du talent. L’excès de confiance, couplé au fait de confondre chance et compétences, conduit souvent les individus à effectuer de nombreuses transactions boursières (augmentation des coûts). Tout comme la tendance à accorder plus d’importance à l’expérience récente, de sorte que les gains entraînent un excès de confiance et les pertes, une prudence excessive.

Pour en savoir plus sur les biais cognitifs financiers, c’est par ici : http ://www.psychomedia.qc.ca/psychologie/2019-04-12/placements-financiers-biais-cognitifs

Comment, dès lors, investir en toute rationalité ?

Gardons en tête que nous sommes, en tant qu’êtres humains, mal programmés en ce qui concerne les décisions financières. Les émotions sont des forces puissantes qui nous poussent à faire le contraire de ce que nous devrions. Planifier permet de mettre en place un processus impartial et rationnel de prise de décision, consolidant les fondations de notre vie financière. Grâce à un plan financier solide, les biais cognitifs sont atténués et les décisions financières rationalisées.

N’importe quel·le conseiller·ère financier·ère pourrait succomber à ces biais cognitifs, surtout s’il ou elle n’en a pas conscience. Et chez Lyra, qu’avons-nous mis en place pour atténuer ces biais ? Comment nos clientes et clients savent-ils que nous avons pris les bonnes décisions pour leur patrimoine ? Nous avons une solide philosophie d’investissement basée sur la recherche académique. Les stratégies mises en place pour notre clientèle assurent une prise de décision rationnelle, indépendamment des biais cognitifs de la finance comportementale, ce qui maximise les rendements.

Et vous, que faites-vous pour atténuer vos biais cognitifs quand il s’agit de prendre vos décisions financières ? Afin de mettre en place une stratégie appropriée, prenez contact avec votre conseiller·ère chez Lyra.